C'est de là que le son doit soudre
De cette profondeur noire
C'est dans cette profondeur lourde
Que je peux vraiment te voir
C'est d'encre que ton cri s'emplit
Derrière la volatilité de ce qui te presse
C'est là que l'évidence te saisit
Sous les oripeaux décousus de ta détresse
C'est à cela que nos mains te livrent
À cette douceur vraie et incisive
En ton être nu que tu peux la vivre
Dans nos bras infinis, par delà l'esquive