Toi toujours tu voudrais croire
Ce monde que tu vis par le cœur
Force est pourtant de percevoir
Qu'il y a des jardins sans fleurs

Faut-il sortir te battre et débattre
Faire entendre ta raison d'être ?
Ou faut-il garder le feu dans l'âtre
Le veiller de ta joie champêtre ?

Se préparer à une chevauchée
Ta colère en étendard ?
Ou de tendresse tout épouser
Tout écouter, tout voir ?

Chacun fait selon sa gamme
Et l'univers joue sa partition
Le chant émouvant des âmes
Vibre du chaos jusqu'à l'unisson